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11 mai 2024 6 11 /05 /mai /2024 09:06

 

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

Beaucoup de gens n’osent pas faire face aux situations difficiles, aux discussions inconfortables, aux désagréments importants. Souvent, on préfère nier, fuir, faire semblant que ça n’existe pas ou provoquer un autre conflit qui sert de diversion pour ne pas avoir à affronter ce qui nous rend si inconfortables, vulnérables, dépourvus.

Avez-vous déjà remarqué comment se tiennent les oiseaux les jours de grands vents? Ils se mettent face au vent car c’est ainsi qu’ils sont le plus solides.

C’est ainsi que nous pourrions être face à ce qui est mis sur notre chemin.  Car chaque fois que nous nous voilons le visage pour ne pas regarder en face une situation difficile, quelle qu’elle soit, nous maintenons la souffrance active, même si nous faisons semblant de ne pas la voir. Chaque fois que nous fuyons une situation, nous la laissons perdurer.

La clarté peut se faire seulement quand nous abordons franchement une situation et que nous osons une communication sincère. La résolution de bien des difficultés peut se faire lorsque nous la regardons bien en face et que nous laissons monter l’élan du cœur qui nous indique l’action juste à faire, que ce soit dans le non-faire conscient ou dans le geste concret permettant de dénouer l’impasse ou d’avancer vers sa résolution.

Derrière toute situation qui nous fait peur se trouve un espace de paix qui nous libère des voiles qui cachent notre vraie Nature. Et puis on se rend compte qu’il devient de plus en plus facile de faire face aux choses difficiles. Car au lieu de les fuir ou de les combattre, nous les accueillons et leur permettons de nous enseigner ce qui a besoin d’être vu en nous.

 

 

 

 

 

Pensée de la semaine

 

Matthieu Ricard 
Moine bouddhiste, Humanitaire, Auteur et Photographe

 

 

 

Il ne faut pas sous estimer le pouvoir des idées et ceux qui les mettent en action ! En transformant notre propre esprit et notre vision du monde, peu à peu nous pouvons activement contribuer a changer nos priorités et transformer nos cultures. Bien des changements majeurs qui se sont produits dans les sociétés paraissaient improbables à première vue. ''Satyagraha'', le principe qui inspira la résistante non violente instaurée par Gandhi, signifie ''la force de la vérité''. C’est elle qui agit et déplace des montagnes.

 

 

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4 mai 2024 6 04 /05 /mai /2024 10:19

 

 

 

 

Texte de Nicole Charest

 

C’est à toi que je veux dire aujourd’hui combien je te remercie de m’avoir accompagné.e si longtemps sur les chemins de ma vie.

 

Je ne t’ai pas accordé l’intérêt, l’affection ou plus simplement le respect que tu mérites.

 

Souvent, je t’ai même maltraité, matraqué de reproches violents, ignoré par des regards indifférents, rejeté avec des silences pleins de doutes.

 

Tu es le compagnon dont j’ai le plus abusé, que j’ai le plus trahi. Et aujourd’hui, au mi-temps de ma vie, un peu ému.e, je te redécouvre avec tes cicatrices secrètes, avec tes lassitudes, avec tes émerveillements et tes possibilités.

 

Je me surprends, surprends à t’aimer, mon corps, avec des envies de te câliner, de te choyer ou te donner du bon.

 

J’ai envie de te faire des cadeaux uniques, de dessiner des fleurs et des rivières sur ta peau, de t’offrir du Mozart, de te donner les rayons du soleil et de t’introduire aux rêves des étoiles.

 

Tout cela à la fois dans l’abondance et le plaisir.

 

Mon corps, je te suis fidèle.

 

Oh, non pas malgré moi, mais dans l’acceptation profonde de ton amour.

 

Oui, j’ai découvert que tu m’aimais, mon corps. Que tu prenais soins de moi, que tu respectais ma présence.

 

Combien de violences as-tu affrontées pour me laisser naître, pour me laisser être, pour me laisser grandir avec toi !

 

Combien d’accidents as-tu traversés pour me sauver la vie !

 

Mon corps, maintenant que je t’ai rencontré, je ne te lâcherai plus. Nous irons jusqu’au bout de notre vie commune….

 

Et quoi qu’il arrive, nous vieillirons ensemble. »

 

Jacques Salomé, psychologue et écrivain

 

 

 

 

Moine bouddhiste  Humanitaire

 

T Texte de : Matthieu Ricard

 

 

 

 

A l'heure actuelle, la majorité des économistes définissent la croissance en termes d'augmentation des richesses - voire d'accumulation des richesses comme un but en soi - et d'exploitation des ressources naturelles. Or ce type de croissance n'est plus adapté aux réalités d'aujourd'hui.

 

 

 

 

 

 

 

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27 avril 2024 6 27 /04 /avril /2024 09:43

 

 

Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

Aujourd’hui, au-dessus de chez nous, alors que nous étions confortablement assis sur notre terrasse, nous avons pu admirer cette éclipse totale du soleil. Un phénomène exceptionnel qui n’arrive qu’aux 150 à 200 ans sur un territoire donné.

On qualifie ce phénomène de grandiose, d’exceptionnel à cause de sa rareté. Mais pourtant, toute beauté, toute forme de vie n’est-elle pas exceptionnelle et grandiose?

Les premières fleurs qui sortent de terre au printemps, si petites et tellement fortes à la fois, ne nous prouvent-elle pas à quel point la Nature est exceptionnelle, à quel point la Vie est forte?

Les premiers insectes qui apparaissent après les grands froids de l’hiver: par quel miracle survivent-ils à nos froids polaires québécois et comment savent-ils quand se remettre à voler? N’est-ce pas grandiose chaque fois?

L’oiseau qui coupe de petites branches d’arbre pour construire son nid, qui le solidifie à coup de patience, à coup de bec, à coup de sagesse innée, qui sait comment, quand et où le construire, n’est-ce pas exceptionnel?

La Vie nous enseigne ici que tout se fait de soi-même, sans que nous ayons besoin de faire un planning détaillé sur Excel, un budget serré, un contrôle des opérations et des coûts.

La Vie se vit, d’elle-même, et nous n’avons pas besoin d’intervenir pour la rendre meilleure : elle est déjà parfaite, même si notre mental ne peut adhérer à cette idée car il juge erroné tout ce qu’il estime non-conforme à ses attentes, à ce qu’il croit que ça devrait être. Pourtant, aucun d’entre nous ne peut prétendre savoir mieux que la Vie ce qui est juste et bon, en ce moment précis, même ce qui nous semble inacceptable.

Or, dès lors que nous admettons que tout se déroule parfaitement, au-delà de notre volonté mentale, nous accueillons ce qui vient sans résistance, sans souffrance. Nous nous abandonnons dans les bras de cette Conscience aimante, infinie, et nous ne faisons qu’un avec elle, puisque c’est ce que nous sommes.

Nous nous mettons alors à danser avec la Vie, à co-créer, à explorer, expérimenter, goûter, toucher, jouer! Nous redevenons un enfant car eux n’ont pas encore oublié Ce qu’ils sont, la Vie, la Conscience, la Présence. Ils s’émerveillent de tout, goûtent à tout, jouent, découvrent, explorent, rigolent. Les émotions peuvent survenir mais elles ne font que passer, contrairement aux adultes qui les ressassent sans fin. Nos enfants sont de grands maîtres, quand notre ego se tait et que notre cœur s’ouvre.

Redécouvrir les beautés du monde, la bonté des gens, la douceur du vent, la lumière des astres, le chant des oiseaux. Trouver le grandiose, l'exceptionnel partout où notre regard se pose...…Redevenir comme ces enfants pour qui tout est exceptionnel, pour qui tout est fascinant, n’est pas là le meilleur chemin pour rentrer chez Soi?

 

 

 

 

 

 

Pensée de la semaine

 

Matthieu Ricard 
Moine bouddhiste, Humanitaire, Auteur et Photographe

 

 

 

Nous vivons dans la méconnaissance de ce que nous infligeons aux animaux et nous entretenons une forme de schizophrénie morale qui nous fait prendre grand soin de nos animaux de compagnie tout en plantant nos fourchettes dans des porcs que l'on envoie à l'abattoir par millions, alors qu'ils ne sont pas moins conscients, sensibles à la douleur et intelligents que nos chiens et nos chats.

 

 

 

 

 

 

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20 avril 2024 6 20 /04 /avril /2024 09:58

 

 

 

 

Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

 

Le monde est toujours le reflet de ce que nous croyons. En tout temps, il nous indique nos croyances, il nous met en face des limites que nous croyons avoir, il nous apporte seulement ce que nous croyons mériter, et jamais plus, et il nous indique clairement par les aspects moins agréables de notre vie, tout ce que nous croyons à propos de nous-mêmes, des autres et de la Vie.

Ainsi, nous recevons constamment les informations à propos de nos croyances à propos de tel aspect, tel sujet puisque ce que nous vivons dans ce domaine reflète précisément ce en quoi nous croyons.

En tout temps nous pouvons prendre conscience de nos croyances et des histoires que nous nous racontons à propos de tout, simplement en observant ce que nous vivons qui n’est pas parfaitement aligné avec l’Amour, avec la Puissance de Ce que nous sommes.

Nos manques apparents sont ainsi le miroir exact de notre manque de foi en l’Abondance infinie. Nos doutes nous parlent de notre oubli de la grande Sagesse de la Vie. Nos peurs illustrent le fait que nous n’avons pas encore réalisé à quel point nous sommes constamment protégés et que tout ce qui arrive est toujours pour le mieux. Nos difficultés à tolérer notre apparente solitude reflètent le fait que nous nous croyons séparés de la Source. Nos blessures qui perdurent nous indiquent que nous ne les avons pas encore pleinement accueillies. Nos découragements nous montrent que nous sommes encore inconscients que tout sert notre éveil et que nous sommes encore dans la résistance à accepter tout ce qui est.

S’observer, observer attentivement ce que nous vivons et chaque fois nous demander « Quelle est la croyance, consciente ou enfouie, que j’ai dans ce secteur de ma vie? » nous amènera à être de plus en plus conscients, de plus en plus présents et à nous libérer de plus en plus des carcans que sont nos croyances et les limites que nous nous sommes imposées et que avons crues vraies.

Avoir la Foi absolue que la Vie est bonne et belle peut tout changer : ce que nous vivons peut être bon et doux si notre Foi est pleinement incarnée.

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

Pensée de la semaine

 

Matthieu Ricard 
Moine bouddhiste, Humanitaire, Auteur et Photographe

 

 

 

 

Il ne faut pas sous estimer le pouvoir des idées et ceux qui les mettent en action ! En transformant notre propre esprit et notre vision du monde, peu à peu nous pouvons activement contribuer a changer nos priorités et transformer nos cultures. Bien des changements majeurs qui se sont produits dans les sociétés paraissaient improbables à première vue. ''Satyagraha'', le principe qui inspira la résistante non violente instaurée par Gandhi, signifie ''la force de la vérité''. C’est elle qui agit et déplace des montagnes.

 

 

 

 

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29 mars 2024 5 29 /03 /mars /2024 11:17

 

 

 

 

ET N'OUBLIEZ PAS DE CHANGER D'HEURE DEMAIN SOIR.

 

 

Gros bisous à vous , et trés bonnes vacances.

 

 

A MI AVRIL POUR UN NOUVEAU TEXTE ,( le 13 avril)

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23 mars 2024 6 23 /03 /mars /2024 10:00

 

Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

Qui d’entre nous n’a jamais rêver de goûter la paix ou mieux, de s’y installer à demeure? Une paix douce, complète, enveloppante, aimante. Et pourtant, que faisons-nous pour vivre cette paix? Il semble qu’au contraire, pendant une grande partie de notre vie pour la plupart, nous faisons tout ce qu’il faut pour nous en éloigner, sans même réaliser que nous faisons l’inverse de ce que nous voulons!

Nous voulons la paix, mais nous remplissons notre agenda de responsabilités, de prétendues obligations, d’activités de toutes sortes qui, bien que parfois intéressantes, ne nous laissent aucun répit.

Nous voulons la paix, mais nous refusons de pardonner à nos parents, notre frère, notre sœur, un ami, qui dans le passé nous a trahis, blessés, menti ou abandonnés, oubliant que la rancune et le refus de pardonner sont des scellants hermétiques qui nous empêchent de vivre en paix.

Nous voulons la paix, mais nous laissons notre mental gober toutes les pensées qui passent, nous les ressassons, les matérialisons, les transformons en scénarios hypothétiques qui nous font vivre des émotions douloureuses et inutiles et qui, vous l’aurez deviné, nous éloignent constamment de la paix.

Nous voulons la paix, mais nous sommes inconfortables dès qu’une période d’inactivité un peu trop longue prend place dans notre vie, dès qu’un silence se prolonge, dès qu’un vide s’installe, oubliant qu’il s’agit là expressément des lieux de prédilection pour trouver, en soi,  la paix que nous cherchons.

Nous voulons la paix mais nous ne faisons rien pour lui faire de la place; nous ne changeons rien à nos vies débordantes et essoufflantes, en nous imaginant que la paix viendra miraculeusement à nous ou qu’un jour, quand nous serons vieux et épuisés, nous y toucherons enfin.

Pourtant, La Paix, elle est déjà là, Présente, silencieuse, accueillante. Nous voulons l’acquérir mais c’est impossible car elle est déjà en nous. En fait, la Paix, c’est ce que nous sommes, depuis toujours et pour toujours. Ce sont toutes ces couches de croyances inutiles que nous avons mis par-dessus qui nous font croire que nous devons la trouver dans un ashram, dans un sanctuaire, dans une église ou dans la nature. Pourtant, la paix est toujours là, où que nous soyons, quoi que nous fassions, quoi que nous vivions, le pire comme le meilleur.

Cette Paix divine, sacrée, bénie est toujours là, en nous. C’est nous. Plus nous nous dépouillons, plus nous la ressentons, plus nous la vivons. Elle nous accompagne dans tout ce que nous vivons.

Un moment de silence et nous y sommes.

Et une fois que nous y avons goûté, nous voulons toujours y revenir. Dans cette Paix, rien ne nous manque, rien ne nous atteint. Cette Paix est remplie d’Amour.

Je vous souhaite la Paix, pleine et entière, douce et bienveillante, simple et riche, pure et infinie. Puissions-nous tous nous reconnaître en tant que Paix.

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

Moine bouddhiste  Humanitaire

 

T Texte de : Matthieu Ricard

 

 

 

 

J'aime beaucoup ces mots de Henry David Thoreau : "simplifier, simplifier, simplifier...". Simplifier nos pensées, simplifier nos paroles et simplifier nos actes, ce n'est pas diminuer notre créativité ou rétrécir notre existence, c'est apprécier intensément la sérénité sans égale d’un esprit au repos dans son état naturel. C'est déposer le fardeau, si longtemps coltiné, des constructions artificielles et distordues qui ne cessent de foisonner dans notre esprit, de le troubler, de l'agiter en tout sens, de le fragmenter, de le comprimer, de l’enchaîner- en un mot de le tourmenter.

 

 

 

 

 

 

 

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16 mars 2024 6 16 /03 /mars /2024 09:45

 

 

 

 


 

Nicole Charest

 

 

Quel est donc ce discours intérieur que vous entretenez et qui ne s’exprime point de façon audible? C’est pourtant lui qu’écoute votre subconscient; à lui seul qu’il obéit...

 

Votre subconscient enregistre votre pensée silencieuse et vos émotions et c’est une machine à enregistrer extrêmement fidèle. Il enregistre tout et vous le rend sous forme d’expériences, de conditions et d’événements. Il faut se rappeler que quoi que ce soit que nous acceptions comme étant vrai, s’imprègne dans notre subconscient et que ce dernier est un puissant agent créateur.

 

Le subconscient contrôle tous vos organes vitaux, il est le siège de la mémoire et le guérisseur du corps. Nourri par des sources cachées, il est uni à l’Intelligence et à la Puissance infinies. Il est donc très important de donner à votre subconscient des instructions convenables qui s’accordent avec votre but.

 

Par exemple, si l’on s’attarde sur des difficultés, délais et obstructions au programme que l’on s’est établi, le subconscient prendra cette attitude mentale pour une requête et accumulera les obstacles et les déceptions. D’où l’importance de nourrir votre subconscient de prémisses constructives et positives.

 

Lorsqu’apparaissaient des contretemps et que le doute et la peur assaillent votre esprit, recueillez-vous et, silencieusement, affirmez cette vérité :

 

« Je rends grâce pour la solution parfaite et harmonieuse qui vient à travers la Sagesse Universelle. »

 

Servez-vous de cette prière de façon régulière et systématique. Elle vous apportera la paix.

 

Il faut complètement cesser les déclarations verbales négatives et surveiller attentivement sa conversation intérieure, sachant qu‘immanquablement, ce sont les éléments de cette dernière qui se manifesteront dans vos vies. Car, c’est ce que vous ressentez intérieurement qui prend forme.

 

Rappelez-vous : si vous dites une chose avec la bouche et en ressentez une autre dans votre cœur, c’est cette dernière qui se reproduira sur l’écran de l’espace. Il ne faut donc jamais affirmer intérieurement ce que vous ne voulez pas vivre extérieurement. Il faut que les lèvres et le cœur s’accordent; quand cela a lieu, votre prière est exaucée.

 

— Joseph Murphy, La puissance de votre subconscient

 

 

 

Moine bouddhiste  Humanitaire

 

T Texte de : Matthieu Ricard

 

 

 

L'ermite ne se désintéresse nullement du sort de l'humanité, mais se rend compte avec lucidité que, dans sa condition présente, non seulement il est incapable d'accomplir le bien d'autrui mais il est tout aussi impuissant à s'émanciper de ses propres souffrances. S'il choisit, pour un temps, de vivre en solitaire, c'est pour approfondir sa pratique et consacrer les années nécessaires à engendrer les ressources intérieures qui lui permettront de contribuer de manière éclairée au bien-être d'autrui.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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9 mars 2024 6 09 /03 /mars /2024 10:34

 

 

Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

Beaucoup d’entre nous souhaitons vivre dans plus de douceur. Nombreux sont ceux qui en ont assez de souffrir, de travailler fort et dur, de courir comme des fous, d’avoir trop de responsabilités et pas assez de moments de paix. Nous aimerions que notre vie soit plus douce, plus agréable, plus calme, plus légère.

Mais d’où vient la douceur? Curieusement, la plupart des gens attendent que leur vie devienne douce, plutôt que de s’offrir eux-mêmes la douceur de vivre. C’est pareil pour bien des choses : on veut que notre vie soit plus calme, on veut moins travailler, être moins occupés, avoir plus de temps à soi.

On est là à attendre de l’extérieur ce que nous souhaitons vivre! Mais la douceur, le calme, les moments de paix ne viendront jamais de l’extérieur! Ce n’est pas la Vie qui nous amènera tout ça. Ce n’est pas parce qu’on veut que notre vie devienne douce, calme et légère qu’elle le sera.

C’est à nous d’amener ces changements dans notre vie, pas à la vie d’amener ces changements pour nous!

C’est en étant plus doux envers nous-mêmes, en cessant d’être notre propre bourreau, en nous traitant avec bienveillance, bonté et douceur que cette douceur s’installera dans notre vie.

C’est en nous réservant des moments de calme, en ralentissant nos activités, en prenant moins d’obligations, en faisant de meilleurs choix plus sains pour nous que nous amènerons le calme dans notre vie.

C’est en revenant à notre paix intérieure, en nous éloignant du bruit, des conflits, en pardonnant, en aimant mieux que nous verrons la Paix s’installer dans notre vie.

Arrêtons d’attendre que la Vie nous donne tout alors que nous nous traitons mal, avec dureté, rigidement. La Vie répond à ce que nous sommes, à ce que nous émettons. Soyons doux envers nous, envers les autres. Donnons-nous des espaces de calme pour que la Paix puisse s’y manifester. Soyons bons pour que la Bonté nous entoure. Et aimons : ce n’est qu’à ce titre que nous vivrons dans l’Amour.

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

Pensée de la semaine

 

Matthieu Ricard 
Moine bouddhiste, Humanitaire, Auteur et Photographe

 

 

 

Tous ceux qui sont malheureux le sont pour avoir cherché leur propre bonheur ; tous ceux qui sont heureux le sont pour avoir cherché le bonheur d'autrui.

À quoi bon tant de paroles ?

Comparez seulement le sot uniquement attaché à son propre intérêt et le Saint qui agit dans l'intérêt d'autrui.

Shantideva

 

 

 

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24 février 2024 6 24 /02 /février /2024 11:10

 

Bonjour à chacun de vous Chers visiteurs (es)

Je vous souhaite de très belles vacances

Je mettrai un texte le 02 mars pour la reprise.

Merci de faire partie de ma vie.

 

 

 

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16 février 2024 5 16 /02 /février /2024 11:15

 

Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

Ce sont nos difficultés, nos problèmes, les crises que nous traversons, les drames que nous vivons, les conflits qui nous submergent, qui le plus souvent agissent comme déclencheurs pour nous donner envie de vivre dans la Paix.

Ces moments sont précieux car ils nous invitent à revenir en nous : ils sont souvent l’élan qui nous poussent à chercher dans notre cœur la plénitude que nous ne trouvons pas à l’extérieur. C’est souvent la souffrance qui guide nos pas vers la recherche d’une autre manière de voir la Vie. C’est quand nous avons l’humilité de mettre un genou par terre que nous avons le cœur le plus grand ouvert car nous sommes alors à l’écoute de la Présence, de ce qui peut nous permettre de vivre dans plus de douceur.

C’est en honorant ces situations confrontantes que nous serons en mesure d’accueillir toute la sagesse de leur enseignement car elles nous invitent à chercher en nous cet espace de Paix auquel nous aspirons tant. Elles finissent par avoir raison de notre résistance à ce qui est et de notre entêtement à vouloir que les choses fonctionnent à notre manière.

Honorer ne veut toutefois pas dire se complaire dans ces situations. Il ne s’agit ni de les rechercher, ni de les maintenir, ni de les afficher comme étant la preuve de notre prétendue résilience. Il s’agit plutôt d’être reconnaissant envers ces messagers de la souffrance comme voie d’accès au sacré de notre cœur.

Nous pouvons tous nous rappeler de ces moments douloureux de notre existence qui nous ont amené à entamer notre quête spirituelle et qui, en ce sens, nous ont servis de guides pour enfin poser un autre regard sur la Vie. Une fois que leur mission est accomplie, nous n’avons plus besoin de souffrir autant pour demeurer présents à la Vie et garder le cœur ouvert en permanence.

Honorons les moments difficiles : ils sont nos éveilleurs de Conscience.

www.dianegagnon.com

 

 


 

Pensée de la semaine

 

Matthieu Ricard 
Moine bouddhiste, Humanitaire, Auteur et Photographe

 

 

 

Les images de souffrance, de persécution, d'abus et de maltraitance abondent et sont nécessaires pour éveiller les consciences. Mais il faut maintenir un équilibre pour le pas tomber dans le " syndrome du mauvais monde " qui mine notre espoir et nous convainc que l'être humain est foncièrement mauvais. En vérité, nous avons au plus profond de nous, à la manière d'une pépite d'or dans sa gangue, un extraordinaire potentiel de bonté, de connaissance et d'éveil. Il importe de prendre conscience de ce potentiel, de l'actualiser et de l'amener à son point optimal...

 

 

 

 

 

 

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